FAQ - ImPACtons!

Bienvenue sur la Foire aux questions du débat ImPACtons!
Retrouvez ci-dessous les réponses aux questions les plus fréquemment posées à propos du débat.

À quoi sert le débat ImPACtons! ?

Le débat ImPACtons! offre l’opportunité à l’ensemble des citoyens de s’exprimer sur l’orientation à donner à la politique agricole française et d’avoir une influence réelle sur la construction de la future PAC.
Deux mois après la tenue du débat, un compte rendu détaillé est rédigé par la commission qui a animé le débat. Il sera remis au Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Ces conclusions seront rédigées de manière totalement indépendante et neutre sans jamais se prononcer sur le bien-fondé des politiques publiques mises en débat. Ce compte rendu donnera à voir de manière détaillée la cartographie des positions et des arguments de tous les participants. La CNDP formulera également des recommandations à destination du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation pour une bonne prise en compte de la parole citoyenne.
Selon les dispositions du code de l’environnement, le Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation aura la charge de répondre de manière motivée à ces contributions dans les trois mois qui suivent la publication du compte rendu.

En quoi l’organisation du débat ImPACtons! est neutre ?

Ce premier débat public sur la politique agricole française a été décidé et organisé par la Commission nationale du débat public (CNDP) qui en a confié l’animation et la mise en place à une Commission particulière (CPDP). Ses membres n’ont aucun conflit d’intérêt ni de lien avec le ministère qui porte les propositions pour la future politique agricole commune. Ils signent une charte de déontologie.
Le statut d’autorité administrative indépendante de la CNDP certifie ses règles de fonctionnement et sont des garanties de neutralité et d’indépendance politique dans l’organisation de ce débat vis-à-vis de l’État.

Qui peut y participer ?

Tout le monde est invité à s’exprimer sur l’orientation de la future politique agricole française, qu’il s’agisse de personnes physiques ou morales (collectivités locales, associations, chambres consulaires, tous organismes publics ou privés).

De quoi va-t-on parler ?

À l’issue de 102 entretiens réalisés sur tout le territoire auprès d’acteurs divers, la CPDP a retenu cinq thèmes principaux :

Est-ce que je peux m’exprimer sur d’autres sujets ?

Le débat vise à collecter tous les points de vue afin de permettre au Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation d’être éclairé par les contributions et l’expression du grand public. Toute contribution concernant l’agriculture française est donc la bienvenue.
Tout le monde peut organiser un débat grâce à un kit téléchargeable à partir du 23 février sur le site internet impactons.debatpublic.fr. Cet outil a été spécifiquement conçu pour aider à la planification d’un tel évènement : il détaille les étapes successives à suivre pour réunir les conditions indispensables à l’expression publique de chacun.e.

Comment participer sans me déplacer ?

Parce qu’il n’est pas toujours possible de se rendre sur un lieu de débat public, une plateforme où déposer sa contribution sera à la disposition de tous sur le site du débat ImPACtons! à partir du 23 février, date de lancement du débat.

Comment trouver les débats publics organisés sur le terrain ?

Une liste détaillée des dates et des villes ou villages dans lesquels se rendra la commission sera disponible en ligne à partir du 23 février, date de lancement du débat.
La commission relaiera ces informations également via les réseaux sociaux et les mairies concernées afin de mobiliser au maximum le grand public.

Qu’est-ce que signifie ImPACtons!, le nom de ce débat ?

Si le verbe « impacter » est un néologisme, ce nom de débat se veut surtout un outil de communication. Facile à retenir, il associe les notions d’impact et de collectif qui sont 2 piliers majeurs du débat. Il renvoie aussi à l’idée que participer et s’impliquer ensemble dans un débat est un exercice démocratique qui devrait influencer les décisions publiques qui, elles-mêmes devraient avoir un impact sur nos cadres de vie et sur l’environnement. Enfin, le rappel du mot PAC (politique agricole commune) ramène à l’objet même du débat : la politique agricole commune.